Le pape François a demandé dimanche, à l'occasion de Pâques, que des «initiatives de pacification» soient entreprises par les «parties intéressées» dans la crise ukrainienne, avec «le soutien de la communauté internationale» et «dans un esprit d'unité» afin d'«empêcher la violence». Lors de son message pascal «Urbi et orbi» (à la ville au monde) il a rappelé que Pâques était fêté cette année à la même date par les catholiques et les orthodoxes: «nous te prions, Seigneur, d'éclairer et d'inspirer des initiatives de pacification en Ukraine, pour que les parties intéressées, soutenues par la communauté internationale, entreprennent tout effort pour empêcher la violence et construire, dans un esprit d'unité et de dialogue, l'avenir du pays»
Le Pape a aussi exhorté les parties en présence de cesser d'«utiliser la force pour semer la mort, surtout contre la population sans défense» et à permettre l'accès des populations «aux aides humanitaires nécessaires». Le conflit a fait plus de 130.000 morts et plusieurs millions de réfugiés et déplacés.
Le Pape a par ailleurs supplié dimanche une nouvelle fois aux belligérants Syriens d'avoir «l'audace de négocier la paix, désormais attendue depuis trop longtemps». Les parties en présence doivent cesser d'« utiliser la force pour semer la mort, surtout contre la population sans défense» et à permettre l'accès des populations «aux aides humanitaires nécessaires». Il a aussi condamné «les victimes des violences fratricides en Irak» voisin, et souhaité une solution au conflit israélo-palestinien. En Afrique, le pape a lancé des appels pour des arrêts aux affrontements sanglants en République Centrafricaine, au Soudan du Sud et aux «atroces attentats terroristes dans certaines zones du Nigeria». Au Venezuela, où le Vatican participe à une médiation pour rétablir la paix civile, le pape latino-américain a demandé que «les esprits se tournent vers la réconciliation et la concorde fraternelle». In Actualités du 20 avril 2014.
Le Pape a aussi exhorté les parties en présence de cesser d'«utiliser la force pour semer la mort, surtout contre la population sans défense» et à permettre l'accès des populations «aux aides humanitaires nécessaires». Le conflit a fait plus de 130.000 morts et plusieurs millions de réfugiés et déplacés.
