"L'écrivaine algérienne Assia Djebar, membre de l'Académie française, est décédée vendredi à 78 ans dans un hôpital parisien, trois ans après avoir été pressentie pour le prix Nobel de littérature, a annoncé ce samedi la radio publique algérienne. La romancière, qui était également cinéaste, sera enterrée, selon ses voeux, dans son village natal de Cherchell, à l'ouest d'Alger, la semaine prochaine.
Née en 1936, Assia Djebar, de son vrai nom Fatima Zohra Imalyène, a commencé sa carrière littéraire en 1957 avec «La Soif», suivi en 1958 de l'ouvrage «Les Impatients». Connue pour son engagement en faveur des droits des femmes, Assia Djebar était considérée comme l'une des auteurs les plus célèbres et influentes du Maghreb. Son oeuvre littéraire est traduite en 23 langues, selon le site de l'Académie française où elle avait été élue le 16 juin 2005 au fauteuil de Georges Vedel (5e fauteuil). Assia Djebar a enseigné à Alger, puis à Paris et aux Etats-Unis. Elle a reçu de nombreux prix et distinctions durant sa carrière" In le Journal de 13h00, Paris, samedi 7 février 2015.
Se non mi sbaglio in questo paese non si puo più riconoscere i luoghi del tempo passato, adesso bisogno ricostruirli col pensiero. In questo mondo non è mai finita.
Stia un po' a sentire. Vado cercare i luoghi.