vendredi 6 mai 2011

Restless legs

Le syndrome des jambes sans repos se caractérise par le besoin impérieux de bouger les membres inférieurs. Lorsqu'il est d'origine iatrogène, ce syndrome se nomme akathisie voire tasikinésie. Cette maladie touche environ 8,5 % de la population française, 8 % de la population américaine, et 12 % de la population canadienne. Elle est par contre rare dans d'autres populations, en particulier asiatiques[2]. Même si le syndrome peut survenir chez une personne jeune, il atteint en règle générale les sujets après 40 ans. Les femmes sont en moyenne deux fois plus touchées que les hommes[3]. Chez la femme, le syndrome des jambes sans repos survient plus volontiers durant les grossesses et après la ménopause mais la raison de cette plus haute fréquence des troubles à ces périodes est inconnue.Motor restlessness, expressed as activity, which relieves the urge to move. Movement usually brings immediate relief, although temporary and partial. Walking is most common; however, stretching, yoga, biking, or other physical activity may relieve the symptoms. Continuous, fast up-and-down movements of the leg, and/or rapidly moving the legs toward then away from each other, may keep sensations at bay without having to walk. Specific movements may be unique to each person; with variability over the course of the day-night cycle, with symptoms worse in the evening and early in the night. These symptoms can make sleeping difficult for many patients and a recent poll shows that presence of significant daytime difficulties resulting from this condition.

En fait ce ne serait pas une maladie bien grave si elle n'empêchait pas de dormir tranquillement ... puisqu'elle réveille le dormeur au milieu de ses rêves de marche permanente ! Comme s'il ne fallait plus se lasser, elle le tiend en hypervigilance, ce qui procure une immense fatigue au réveil et bien des préoccupations qui ne le lâchent jamais. Marcher au bon moment quand il fait frais, tôt le matin et tard le soir, devrait faciliter le repos de la nuit.

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