mardi 20 mars 2012

Tragedia

" La région est placée sous haute surveillance : Au lendemain du drame de Toulouse, la ville Rose se réveillait dans la douleur ce mardi matin. A plusieurs coins de rue du centre de la ville, les habitants commentaient la tuerie qui a fait quatre morts, dont trois enfants, lundi dans un collège-lycée privé juif de la ville. «Nous sommes tous choqués. Beaucoup ont peur car nous sommes potentiellement tous une cible», confie Emma, une lycéenne de 16 ans, au métro Jaurès. Début de psychose ?
"C’est dans cette enseigne que le ministre de l’Intérieur, Claude Guéant, s’est rendu en début de matinée. La philosophie du plan Vigipirate est de protéger le plus possible sur les lieux de grande affluence et d’apporter une surveillance statique et permanente à proximité des écoles, assure-t-il. Selon lui, 200 enquêteurs, dont certains issus des services de renseignements, sont mobilisés pour retrouver l'homme le plus recherché de France.

A 11h, plusieurs centaines de personnes ont observé un temps de silence sur la place du Capitole, dans le centre de Toulouse. «C'est un grand malade celui qui a fait ça», lâche une trentenaire. «Non, ce n'est pas un fou. Dire ça, c'est l'exonérer de son geste "!

La ville est en état d'alerte maximale. Devant plusieurs magasins du centre, des vigiles contrôlent les sacs des clients, dans le quartier du Capitole ..."

Extrait du Journal de 13h00, Paris, 20 mars 2012. and Giuseppe Verdi, Opera, Il Trovatore, 19 janvier 1853.


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