Environ un million de personnes meurent par suicide chaque année dans le monde et c'est une cause de décès potentiellement évitable, souligne le Professeur Le-Niculescu, psychiatre à l'université de l'Indiana (USA). Des outils objectifs et fiables sont absolument nécessaires pour évaluer et suivre l'évolution du risque suicidaire, un projet auquel il s'attaque avec son équipe après avoir déjà apporté la preuve du principe de l'utilité de biomarqueurs sanguins d'expression génique pour prédire l'humeur et les symptômes de psychose.
Pour identifier des biomarqueurs pertinents des tendances suicidaires, les chercheurs utilisent la génomique fonctionnelle convergente (CFG), une approche combinée puissante pour extraire le signal du bruit de fond dans les études d’expression génique. La CFG a déjà contribué à trouver et hiérarchiser des gènes candidats, des voies et des mécanismes dans certains problèmes neuropsychiatriques tels que troubles bipolaires, alcoolisme, anxiété et schizophrénie, montrant sa reproductibilité et sa capacité prédictive dans des cohortes indépendantes.
Actualités Médicales, Journal International de Médecine, 3 septembre 2013. and Ponte Romano en été.
Actualités Médicales, Journal International de Médecine, 3 septembre 2013. and Ponte Romano en été.
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